Le projet Ectochip

L’enjeu est de prévenir le recours aux chimiothérapies inutiles et d’orienter sans délai le patient vers un traitement personnalisé. Grâce à l’implémentation de la composante immunitaire, ce modèle permettra aussi d’évaluer les effets des immunothérapies déjà approuvé dans le traitement des rechutes et qui deviendront bientôt des acteurs majeurs de la thérapie dans le traitement de première intention de ce cancer. D’après les données publiées sur les rechutes et d’autres modèles tumoraux, les immunothérapies n’ont pas amélioré la survie de tous les patients atteints d’un cancer. Un système innovant capable de prédire le bon candidat sera fondamental dans un avenir proche. Prendre en compte à la fois les propriétés mécaniques, immunitaires et les interactions cellulaires fait de ce modèle préclinique s’affranchissant de l’expérimentation animale, un outil performant qui permettra au consortium ECTOCHIP de nouer de nouveaux partenariats avec l’industrie pharmaceutique et avec les acteurs de l’innovation en santé de la région lyonnaise.

Mots clés

Cancer de l’endomètre, résistance aux traitements par chimiothérapie, biomarqueurs de récurrence, immunothérapie, organoïdes, organ-on-chip, élastographie

Les porteurs.euses

Stefan Catheline (LabTAU | Employeur: Inserm) & Isabelle Ray-Coquard (RESHAPE| Employeur: CLB)

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